Lundi 16, nous partons en bus direction Hoi An. C’est de nouveau un bus de nuit mais cette fois nous voyageons de jour.
Le bus est quasiment vide et nous nous installons confortablement au fond. Environ 140 kilomètres séparent Hué de Hoi An et nous mettons près de 5 heures ! La deuxième partie du trajet nous fait longer la côte. C’est splendide et nous avons le bonheur de voir la mer.

Nous nous dirigeons vers notre nouveau logement, à mi-chemin entre chez l’habitant et hôtel. Bien différent de ce à quoi nous étions habitués (nous n’y resterons cependant que trois nuits, et pour cause : le coq de la basse-cour voisine ainsi que ses copines ont eu la bonne idée de nous réveiller systématiquement vers 5h du matin…).

Les bagages à peine posés, nous partons découvrir Hoi An by night ! Et là, nous sommes sous le charme : il y a des centaines et des centaines de lampions de toutes les couleurs un peu partout. La ville, en pleine effervescence s’apprête à fêter le nouvel an, le Têt. Nous nous installons en bordure du Thu Bon pour dîner et découvrons des spécialités de la région, comme les « roses blanches », un régal !

Le lendemain, nous louons un scooter et nous partons à la plage de Cua Dai: il fait beau, chaud, l’eau est bonne, il y a quelques vagues. Nous faisons les fous dans l’eau, Hugo et Robin se font rouler mais s’éclatent!

Mercredi 18, jour du réveillon. C’est la première fois que nous voyons Hoi An de jour et c’est vraiment une belle ville. Petites ruelles, façades très colorées, anciens bâtiments…
Avant le dit réveillon et avant le passage à l’année de la chèvre, nous sommes invités à dîner par notre hôte. Nous faisons la connaissance d’une famille américano-chinoise adorable et le repas est excellent et très convivial.
Nous nous dirigeons ensuite vers l’ancienne ville pour assister à un concert (mémorable, du moins on a bien rigolé) et au feu d’artifices lancé à minuit sur le bord du fleuve. Là, c’était grandiose !

Après une courte nuit et après avoir changé d’hôtel, nous retournons buller à la plage.

A l’heure où nous écrivons ces quelques lignes, il semblerait qu’il y ait un karaoké géant soit dans le hall de l’hotel, soit tout près dans la rue. Entre la basse-cour et ça , notre coeur balance….

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