Mardi 30 juin, après une courte nuit dans un avion de la XL Airways (bien moins confortable que ceux de Quatar Airways), nous voilà arrivés à La Réunion.
Le comité d’accueil était présent à l’aéroport, quel plaisir de revoir les frimousses de tous les réunionnais, et sa famille pour Pierre-Yves !
Le début de notre séjour a commencé en douceur… nous avions du sommeil en retard et Hugo & Robin se sont transformés en marmottes. Nous avons vraiment apprécié de nous poser un peu et de prendre le temps. Le binôme des inséparables Fanny et Robin s’est reformé, pour le plus grand plaisir de l’un et de l’autre.
Nous avons également intensifié les séances de devoirs.
C’est dimanche 5 juillet que nous avons revu toute la famille de La Réunion. Pour l’occasion, un atelier nems d’après des recettes du Vietnam et du Cambodge a été organisé. Et le résultat n’était pas mal du tout. Bonne ambiance en famille, au soleil, sur la terrasse de la maison de La Montagne (là où habitent les parents de PY, et où nous serons reçus comme des papes pendant tout notre séjour).
Nous avons fait quelques virées à la plage en famille, avec les cousins, la famille de Eric et Muriel et puis un peu plus tard avec Flo, Servane, Lilian et Sandro.
Grâce à Bruno (un des oncles de PY), nous avons sillonné la route de La Montagne, la route en corniche et celle des tamarins en moto. Le thème choisi par Bruno était : « les ports de La Réunion ». C’était une super virée (frissons garantis) qui s’est terminée par un bon resto avec Bruno et Véronique, près du Jardin de l’Etat.
Nous avons découvert un délicieux restaurant gastronomique à Saint-Denis : l’atelier de Ben, où nous sommes allés avec Anne-Laure et Bertrand. C’était une bien bonne soirée et un beau cadeau d’anniversaire pour nous deux !
Dimanche 12 juillet, nous sommes partis pique-niquer au Pic Adam, petite balade dans les hauts de Bois-de-Nèfles, avec une vue imprenable sur Saint-Denis. Nous avons longé des champs d’ananas, une grande première pour les Payet parisiens, et les loustics nous ont montrés qu’ils en avaient encore dans les jambes.
PY et Manon sont partis faire une randonnée à cheval dans les champs de canne à sucre. C’était l’occasion pour une filleule de faire découvrir à son parrain sa nouvelle passion, et de passer un moment ensemble.
Le 14 juillet, nous sommes allés voir le feu d’artifices sur le Barachois, à Saint- Denis, en famille. Mais aussi avec Flo, Servane, Lilian et Sandro. C’était un très beau spectacle et le photographe de la famille s’est éclaté.
Juste après le feu d’artifices, nous avons assisté au concert de Michel Fugain. C’était très chouette. Les enfants ont beaucoup aimé ! Nous ne pensions pas connaître autant de chansons de lui !
Nous ne sommes pas rentrés trop tard car une grosse journée était à suivre : le volcan !
salut les voyageux
la détente a l’air vraiment bonne à en croire votre récit qui inclue même des jours qui n’existent pas ! et les photos continuent de faire rêver, vous assurez le voyage de vos lecteurs jusqu’au bout. Profitez bien, et quand vous ramènerez vos tongs vers paris, on vous attend volontiers pour un apéro d’avant rentrée (ouh le vilain mot). Des bises,
alice & les poupeau
Hello Alice,
Merci pour les coquilles 🙂
Ce sera avec volontiers pour l’apéro d’avant r…. Non, je ne peux pas le dire. Pas encore !
Allez, grosses bises à tous et des bonnes vacances !
Hello les amis,
un petit mot de ceux dont la bulle de rêve a déjà éclaté et qui se retrouvent bien ballots au boulot!
L’occasion de remercier toute la famille Payet pour cette belle découverte de La Réunion en votre compagnie! L’attachement a été immédiat …. parce qu’on vous est très attachés!!!!!
Mention spéciale pour ma part aux vrilles des dauphins qui ont fait oublier les baleines fourbes, au volcan avec ou sans vapeurs d’eau, de ti punch, ou autre , à la balade pour le trou de fer et la découverte de la foret humide, très humide, au margouilla de Robin, au masque magique de Paddy (le Paddy adopté par nos enfants également), à la confiture mangue/gingembre de Laurence, à Talitakoum, au poisson trompette, à la ptite langouste qui nous disait « je suis trop jolie, je suis pas faite pour le BBQ », au poisson qui avait la tête d’une souris, aux samoussas et aux bonbons coco de chez Loulou. Et puis, moi, j’ai adoré le conservatoire des mascarins et les histoires sur la flore endémique et … une fabuleuse découverte : le combava!!!!!!
On va se requinquer en buvant votre rhum et on survolera les deserts, le lac Nasser, l’Ethiopie et Madagascar pour être en pensées avec vous!
Un gros bisou à tous et toutes
Pierrot et Diane, forza forza, on est de tout coeur avec vous!
Bien affectueusement
Servane
Servane,
Merci pour ton super message! Nous avons aussi adoré tous ces moment passés avec vous. Nous avons la tête pleine de beaux souvenirs, ce qui nous aide beaucoup à mieux vivre ce retour tant redouté…
Gros gros bisous à tous les 4 et à très bientôt à Lyon.
Super de voir ces photos de famille ! Je ne connais pas tout le monde, mais une bonne partie quand même. Le temps passe vite ! Je me souviens quand tu venais (Jean-Pedro) d’être tonton, et maintenant je vois tes nièces qui ne vont pas tarder à avoir l’âge qu’on avait quand on s’est connu. Et Fatou fidèle au poste. Ca me rappelle que moi aussi j’avais été royalement accueilli à la Montagne, en décembre 98. Embrasse bien de ma part tes parents, ta soeur et Bertrand, Fatou, et ceux que je n’ai pas rencontré à l’époque parce que ça ne s’est pas présenté ou parce qu’ils n’étaient pas encore nés.
Gro-ki gro-têt’,vilain bêbêt’ quat’zié
Le ciel était radieux, les reflets de la chevelure de la sorcière illuminaient sa chambre. Ses pieds adorables s’enfonçaient dans les épais tapis de laine d’auroch tandis qu’elle se dirigeait vers la fenêtre. De sa main mignonne, elle saisit le bouton de nacre de la fenêtre qui ouvrait sur la mer et se précipita dans l’azur.
Hugo P. était seul, un peu affaibli par sa blessure, au milieu de l’océan sans limite. Aucune trace hostile, le murmure des vagues le berçait ; il était serein. S’il devait mourrir aujourd’hui, le monstre mourrait avec lui.
Une trace dans le ciel, un oiseau se dirigeait vers lui ; mais l’oiseau grossissait à vue d’œil ; il était énorme ! L’oiseau plongea dans l’océan. Aucun doute n’était possible, l’heure du combat final était bien arrivée car c’était la queue dentelée du monstre – Azur, le seigneur de l’océan – qu’il avait vu disparaître.
Hugo P. plongea à la suite du monstre. Azur l’avait vu mais semblait l’ignorer. Le maître des contes s’approcha de la gueule du monstre et s’enfuit au moment précis où ce dernier fit mine de le saisir.
Ce ballet étrange n’avait aucun spectateur. Hugo P, remontait régulièrement à la surface, mais Azur, sûr de sa force, restait au fond des mers.
Imperceptiblement cependant, le monstre se rapprochait du rivage. Car Hugo P. savait que sa seule chance était d’amener le grand requin à s’échouer sur le rivage. Mais le maître des contes avait présumé de ses forces ; une fois encore il fit face au monstre mais il ne pût s’éloigner quand celui-ci ouvrit sa gueule immense.
À suivre…